Toute l’équipe s’organise pour aménager le chantier et commencer le travail.
Premier boulot : les boulons de lest
Manu lance une partie de l’équipe sur les boulons de 50cm à 1m , en prévenant que sauf gentillesse du bateau, ce ne sera pas évident. D’ abord les solutions douces. Pas de surprise majeure, les écrous rouillés finissent par être tronçonnés, jusque-là pas de problèmes.
Les premières entretoises en bois, c’est plus ardu mais ça va et on arrive aux tiges filetés, à la massette… ils résistent! Bon, plusieurs solutions sont envisagées pour le prochain essai. Chacun va amener du matériel.
Deuxième et troisième essai / percuteur électrique petit puis gros, chauffer au chalumeau , retaper on sait jamais . Bon ils sont toujours bien bloqués par la rouille dans le bois et la fonte. Le reder Mor se défend.
Comme dit Manu, c’était prévisible et heureusement ce n’est pas urgent pour continuer. Pendant ce temps-là un autre partie de l’équipe trouve et enlève une solution d’étanchéité inattendue. De la résine , normal mais plutôt 400grammes , la ou on en mettrait peut être 20 maintenant !
Logique on est dans les années 60 dans un chantier traditionnel bois . La résine, on n’utilise pas encore vraiment. Avantage, une fois démontée c’est magnifique , de la à en faire des bijoux….(pas évident que nos femmes soient du même avis)
Et le chantier continue de s’organiser pour accueillir des machines , ce coup-ci le frigo , pas encore vital ! Mais les grosses suivront.
Article rédigé par Eric
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