De plus en plus, nous travaillons en petite équipe, bien guidé par notre Charpentier François qui fait bien confiance à l’équipe :
ici (28) Pierre fait le brochetage du bordé,
c’est à dire qu’ayant fixé avec de petites pointes une latte de conterplaqué 5mm à l’emplacement du futur bordé, il marque au compas à pointe sèche, un arc de cercle centré sur le milieu de la membrure, à la ligne de jonction avec le bordé contigu : en haut puis en bas.
En , en posant cette latte sur un plateaux choisi (29), il cherche ensuite la meilleure manière de placer ce futur bordé, sans nœud, sans cœur ni aubier, et « à l’économie » de bois, le moins de chutes possible.
Bien sûr François, le charpentier, vérifie (30)
puis reporte au compas à pointe sèche, les rives du futur bordé, on obtient une suite de points sur lesquels Jean plante des clous (31)
qui vont permettre de ployer une grande latte nous donnant une courbe régulière et équilibrée. On arrive alors au traçage du bordé, il est ensuite scié à la scie circulaire.
Vient alors la finition que Jean, aidé de Gilles, effectue (32) au rabot.
Grosse pièce de chêne : 260cm par 40 cm, épais de 60mm, sciée par Jean (33),
Gilles et Mathieu aident au passage du fil et à l’aspiration des sciures directement à la scie. C’était urgent car Ch. Canu est prêt à nous raboter la pièce, trop importante pour notre matériel (34).
Et n’oubliez pas, pour les termes techniques, de consulter notre glossaire:
-Article rédigé par Manu-
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