GALBORD: Premier bordé du bas de la coque qui viendra contre la quille dans la rablure. On parle moins de son voisin le second bordé, appelé « contre-galbord » et du troisième, le « ribord ». Après, ils n’ont plus que des numéros jusqu’à la préceinte, qui ceinture le haut des membrure et forme le haut du bordé (et que l’on s’appelle le carreau sur une embarcation légère.
Le « retour de galbord » est la zone concave dans la courbe de la membrure où le bordé fait la transition entre le fond et la quille. (Arwen Marine)
Voilà, le galbord tribord est posé (122) et peint aussitôt (123).
François et Jeremy fignolent maintenant le ribord (124)
et notre RederMor6 a belle allure mainrtenant que la deuxième sous lisse est posée à tribord, en haut sur cette photo (125):
Le ribord est étuvé à son tour (126)
pendant que François et Malika, nouvelle stagiaire au chantier, et François Blatrix, ajustent la rive du galbord qui recevra ce 2ème bordé (127)
Mise en place ensuite (128-129).
Le motoriste nous a engagé à mettre en place le tube d’étambot, diamètre 40mm,. Il faut d’abord percer cet étambot, pièce de chêne, large de 100 mm sur une longueur d’e 60 cm.
Notre charpentier a fabriqué un outil spécial, déjà utilisé sur le St Michel II (bateau de jules Vernes sur lequel il a travaillé – voir le beau site ici) : une tige d’acier guidée de chaque côté de la pièce à percer, sur laquelle est fixée une fraise (130-131).
Cet ensemble long de 1,5m. Tourne, et les lames de la fraise entament le bois, lentement mais sûrement (132).
Après finition sur les extrémités, le tube peut être mis en place, l’arbre d’hélice y prendra place à l’avenir. (133)
Des chevrons sont ici mis en place, ils nous permettent de préciser la position du plancher définitif, préservant un « garde corps » de 80 cm. Dans toute cette partie du bateau (134). il montre aussi l’emplacement du coffre moteur et juste devant, d’un coffre de rangement.
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